Prince of Persia: The Lost Crown, petites configs en vues !

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Direction Ubisoft qui communique les configurations minimales et requises pour son prochain titre : Prince of Persia: The Lost Crown. Clairement, c’est un jeu qui est conçu pour tourner sur tout type de machines, on regarde ça ensemble !

Prince of Persia: The Lost Crown, des configs rikiki exigées !

Prince of Persia: The Lost CrownAvec ce titre, nous sommes aux antipodes de ce qui était proposé avec Avatar: Frontiers of Pandora, clairement. Toutefois, ce n’est pas non plus le même style de jeu, loin de là. Avec ce Prince of Persia, nous avons affaire à un jeu de plateforme 2D, avec du style tout de même.

Bref, si vous avez un écran 1080p, vous pourrez clairement jouer avec une petite configuration. En effet, dans ces conditions, avec des presets normaux et pour atteindre les 60 images/sec, il vous faudra un CPU à quatre cœurs. On parle alors de Core i5 4460 ou d’un Ryzen 3 1200. La partie graphique est également rikiki avec une GTX 950 2 Go ou une RX 5500 XT 4 Go.

En 2560×1440, si vous visez les détails élevés, toujours avec un framerate de 60 FPS, il vous faudra une partie CPU un peu plus importante. Cette fois-ci, on passe sur du Core i7 6700 ou du Ryzen 5 1600. Quant à la partie graphique, il vous faudra une GTX 960 4 Go ou une RX 5500 XT.

Pour finir, en UHD, il n’y aura pas de changements quant à la partie processeur. Côté GPU, on reste sur une RX 5500 XT, mais la quantité de VRAM exigée passe à 8 Go. Si vous êtes team NVIDIA, il vous faudra une GTX 1060 6 Go.

Sinon, toutes ces configurations ont en commun, la quantité de RAM qui reste à 8 Go ainsi que la partie stockage : 30 Go sur un SSD.

Très clairement, on sent que le jeu sera léger et qu’il pourra tourner sur toutes les machines du marché ou presque… À moins d’avoir un dinosaure en guise de PC. Au final, la seule exigence liée à la montée en résolution concernera la quantité de VRAM disponible sur votre carte graphique, on le voit très bien avec la carte d’AMD qui reste la même à mesure que l’on monte en résolutions.